Coucou, Primevère, Coucou ! Tes fleurs jaune d’or brillent Sous les premiers soleils printaniers.
Pour les Druides sacrée, Et les Irlandais plante des fées, De magie tu es entourée.
Des milles feux de l’amour, tu pares certains mariages ; mais à d’autres tu prédis libertinage.
À chacun tu redonnes foi et espoir, donnant souffle aux voies respiratoires et inspiration aux peintres et écrivains.
Nul ne sait vraiment d’où tu viens, Si du jardin de Flore O bien du paradis de Saint Pierre, Mais une clé fantastique du détiens ! Celle de la joie qui revient, De la vie qui s’épanouit Du mouvement qui ravit, Et du chant qui réjouit Pour des cœurs en harmonie.
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